Qui sommes-nous ?
A l'origine des anciens fonctionnaires et salariés de la Poste et d'Orange.
Aujourd'hui, des retraités et pré retraités des secteurs public et privé qui partagent nos valeurs. Nous sommes près de 90 000 adhérents répartis en 101 groupes départementaux sur le territoire métropolitain et d'outre-mer.
Historique de l'ANR.
En 1927, Firmin VIDAL, ancien postier, crée l'Association Générale des Retraités des PTT (AGR), pour préserver une retraite correcte et des prestations sociales convenables. Elle deviendra au fil du temps l'Association Nationale de Retraités (ANR) ouverte à tous les retraités et pré retraités des secteurs public et privé.
Des mesures positives sont obtenues dès les débuts, avec la création en 1929 d'une maison de retraite, puis la révision des pensions en 1936. Ces premiers résultats expliquent sans doute le développement de l'ANR. En 1976, l'ANR compte 27 000 adhérents répartis en 53 groupes départementaux; lors de ses 60 ans, en 1987, elle est forte de 40 000 adhérents. Elle signe en 1998 une convention de participation avec la FGR/FP (fédération générale des retraités de la fonction publique), rejointes en 2001 par l'UNRP (union nationale des retraités de la police, pour former le Pôle des retraités de la Fonction Publique qui s'agrandit en 2003, avec l'arrivée de la FNOM (fédération nationale des officiers mariniers en retraite). Ce nouveau groupement associatif compte 260 000 adhérents.
Depuis 2017, l'ANR adhère à la Confédération Française des Retraités (CFR) qui réunit 1,5 millions de retraités.
Depuis sa création, l'ANR a toujours fait la preuve de son réalisme et de sa capacité à s'adapter aux évolutions de la société. Par ses alliances successives elle s'est rendue audible, avec les autres composantes représentatives, syndicales et autres, pour faire valoir les droits des retraités auprès des pouvoirs publics. Dans la réforme qui s'engage, nul ne saurait ignorer la force incarnée par 16 millions de retraités, tous électeurs.
Nous ne donnerons jamais de consignes de votes, qui relèvent de la conscience de chaque citoyen, mais dans le souci de la défense de nos intérêts, nous ne manquerons pas de rappeler à nos interlocuteurs l'effet que pourraient avoir dans les urnes des mesures mettant en cause le pouvoir d'achat et la qualité de vie des retraités.